Soixantaine, sois sans haine

Aujourd’hui, je peux râler sans retenue.

Rrrrrââââââââââââââââââââ !!!!

J’arrive à un âge autrefois considéré comme un marqueur sociétal important. Un âge qui te permettait de passer directement d’une vie plus ou moins précaire mais active à l’antichambre du mouroir insalubre dans lequel on te préparait une fin qu’on espérait rapide puisqu’un cadavre n’est pas censé toucher sa retraite. Aujourd’hui — le calendrier de La Poste faisant foi — je suis officiellement un vieux con !

Heureusement que je m’entraîne depuis que je suis tout petit !

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